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Corum - Admiral’s Cup Seafender 47 Tourbillon Chronograph

Interprétation contemporaine de complications classiques, la nouvelle Admiral’s Cup Seafender 47 Tourbillon Chronograph de Corum se livre dans une formidable technicité pour un porter quotidien, au sport comme à la ville.
20.12.2013

C’est une équation complexe que signe Corum avec sa nouvelle Admiral’s Cup Seafender 47 Tourbillon Chronograph. Premier fait rare pour cette complication majeure: son tourbillon
est rythmé par un calibre à remontage automatique, deuxième fait rare: elle bat à une fréquence de 4 Hz contre 3 Hz pour la plupart des tourbillons classiques. Grâce à sa remarquable vitesse d’oscillation de 28'800 alternances par heure, la montre offre une récision exceptionnelle, encore renforcée par le système de remontage automatique assurant un niveau d’énergie constant. Décrivant une révolution toutes les soixante secondes, le tourbillon livre un spectacle fascinant dans sa généreuse cage de 14.08 mm, décrivant sa course sur lui-même. Fixé sur une vis triple micrométrique, son réglage s’en voit affiné et la constance de sa précision renforcée. Aux performances de cette orchestration complexe s’ajoute une remarquable résistance, soulignée par un échappement à ancre à palettes façonné en Glucydur. Rare, voire unique sur un mouvement tourbillon, la robustesse affichée par l’Admiral’s Cup Seafender 47 Tourbillon Chronograph fait entrer la haute horlogerie dans le quotidien, puisque la montre peut être portée sans contrainte.

Une architecture et des finitions dans la plus pure tradition


Battant au coeur de l’Admiral’s Cup Seafender 47 Tourbillon Chronograph, le calibre CO 398 recèle d’autres prouesses encore. Entièrement intégré, son chronographe est orchestré
par une roue à colonnes distribuant ses fonctions. Bien plus complexe que les mécanismes modernes à came, cette architecture noble s’inscrit dans la grande tradition horlogère, et
offre un mode d’activation particulièrement doux. L’excellence du calibre CO 398 se révèle jusque dans les moindres détails, chaque composant étant poli et anglé main. Un patient
travail d’orfèvre qui a induit des contraintes dès l’usinage. Le polissage impliquant de retirer de minuscules volumes de matière – de l’ordre du micromillimètre –, les pièces brutes ont été façonnées dans des dimensions légèrement plus grandes que leur taille fonctionnelle. Si le processus est complexe, il permet d’éviter que trop de matière ne soit retirée lors du polissage, ce qui nuirait à l’interaction parfaite des pièces terminées, et par conséquent à la bonne marche et à la précision du mouvement.

Dévoilé par le fond saphir, le calibre est finement décoré à la main, avec de délicats traits tirés, ainsi qu’un perlage de la platine, des ponts et autres roues. Dans une démarche esthétique poussée à son paroxysme, Corum est même allé jusqu’à squeletter la masse oscillante traitée au ruthénium, afin de mieux révéler encore toute la sophistication de cette mécanique de haut rang.

Une résistance hors normes


Conçue pour être portée au quotidien, l’Admiral’s Cup Seafender 47 Tourbillon Chronogaph affiche une élégance sportive, que viennent souligner les très emblématiques fanions nautiques du réhaut et la silhouette dodécagonale du boîtier. Revendiquant avec style ses généreuses dimensions de 47 mm de diamètre, celui-ci est façonné en aluminium traité par
céramisation gris anthracite. Explorant la science des matériaux, Corum s’est appuyé sur la technique dite « MAO » – micro arc oxydation. Inventée dans les années 1960 en Allemagne, cette méthode n’a pu être industrialisée qu’à partir de 2006, grâce aux avancées technologiques des équipements et à l’informatisation. Particulièrement innovant, le
traitement utilisé par Corum est réalisé par une transformation à la fois électrique, physique et chimique de l’aluminium plongé dans un bain d’eau. Une méthode écologique brevetée, qui rend le boîtier de la montre véritablement exclusif, et présente de nombreux avantages. Cette technique de céramisation apporte à l’aluminium une durée de vie plus longue en le rendant plus dur que l’acier, anti-abrasif tout en le protégeant de la corrosion. A ces avantages techniques vient s’ajouter un atout esthétique indéniable, couplé à un agréable toucher.

D’or et de diamants


Egalement proposé en version or rouge 18 ct, le boîtier de l’Admiral’s Cup Seafender 47 Tourbillon Chronograph existe également serti dans trois déclinaisons joaillières. Toutes trois affichent un compteur 60 minutes et une petite seconde pavés de 88 diamants ronds (~0.13 carat) et de 9 diamants baguette (~ 0.04 carat) pour les index, les différences s’affichent au niveau de la boîte. Pour la première, lunette, cornes et protège-poussoirs se parent de 204 diamants ronds (~ 2.13 carats), tandis que la deuxième lui emprunte les 144 diamants ronds (~ 0.63 carat) de ses cornes et protège-poussoirs, tout en lui préférant la taille baguette pour les 36 pierres (~ 4.71 carats) illuminant la lunette. Une taille baguette qui séduit particulièrement la troisième proposition joaillière, avec 60 diamants baguette (~6.01 carats) sertis sur la lunette et les cornes, tandis que les protège-poussoirs scintillent à la faveur de 36 diamants ronds (~ 0.05 carat).

Etanche à 50 mètres, l’Admiral’s Cup Seafender 47 Tourbillon Chronograph est livrée avec deux bracelets, le premier en crocodile noir, le second en cuir avec aspect caoutchouc pour
les modèles non sertis, et en crocodile brun pour les pièces joaillières.

Plus d’informations sur www.corum.ch

Publié dans : Corum, Nouveautés
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